Au delà des enjeux purement formels communément prêtés au design, il s’agit de traduire combien cette discipline doit davantage être pensée comme une pratique du regard spécifique. Cette pratique ne saurait connaître de limite à son déploiement et interroge, si ce n’est transforme, l’ensemble des constructions sociales et politiques. Au cœur de cette proposition réside un bandeau identifiant qui affirme cette ambition nécessaire du design, à savoir sa non circonscription à une catégorie d’objets, sa logique de territoires au pluriel.
Ce bandeau identifiant rend compte de la dynamique de la création du design : ouvert sur la droite, il affirme combien l’exploration et la recherche constituent les leviers de la démarche de design ; construit sur le principe de l’interrelation entre les objets, et non selon une logique de catalogue, il dit la complexité du design et de sa méthode, et en particulier combien toute intervention sur un objet produit des effets au delà du strict périmètre de celui-ci.
Les informations spécifiques relatives à l’école ou à la cité se découpent sur ce bandeau. Elles se « déplacent » selon la logique du curseur, comme une ligne de temps qui viendrait croiser la ligne de territoires constituant le fond identifiant. Cette dynamique permet de jouer d’une contextualisation des informations en mettant éventuellement en relief tel ou tel élément du bandeau identifiant, bandeau qui reste modulable et qui peut donc venir renforcer par l’image le contenu de l’information.
Ce bandeau identifiant rend compte de la dynamique de la création du design : ouvert sur la droite, il affirme combien l’exploration et la recherche constituent les leviers de la démarche de design ; construit sur le principe de l’interrelation entre les objets, et non selon une logique de catalogue, il dit la complexité du design et de sa méthode, et en particulier combien toute intervention sur un objet produit des effets au delà du strict périmètre de celui-ci.
Les informations spécifiques relatives à l’école ou à la cité se découpent sur ce bandeau. Elles se « déplacent » selon la logique du curseur, comme une ligne de temps qui viendrait croiser la ligne de territoires constituant le fond identifiant. Cette dynamique permet de jouer d’une contextualisation des informations en mettant éventuellement en relief tel ou tel élément du bandeau identifiant, bandeau qui reste modulable et qui peut donc venir renforcer par l’image le contenu de l’information.