Scénographie du pavillon de la France invitée d'honneur à la Foire du livre de Francfort 2017
Avec Eric Jourdan. Un long processus qui commence par l'encadrement d'un concours au sein de l'Esadse à l'issue duquel le projet de 3 étudiants a été choisi par le commissariat du pavillon.
À partir de cette intention, nous avons dessiné et développé le projet de manière à répondre au programme d’un plateau ouvert, accueillant, permettant la convivialité et les échanges, les conférences et les lectures, mais pouvant aussi offrir des lieux de travail plus intimes et préservés tout comme des espaces de monstration nécessaires à la présentation de trois grandes expositions.
La construction et l’organisation du pavillon se fait par l’agencement de cloisons bois autoportantes conçues à partir d’un système constructif léger très simple et modulable.
Pensées afin de délimiter les espaces et structurer les différents moments de la visite, ces « cloisons » sont aussi les supports permettant de positionner des enseignes, des informations statiques ou dynamiques, d’exposer des affiches ou des documents ; elle deviennent bibliothèques en présentant des livres et le principe constructif se décline aussi en mobilier tel que bancs, gradins, tables, tabourets…
En reprenant les principes de l’identité visuelle, la présence typographique est relativement importante dans l’espace. Ainsi, en articulation avec la structure bois, de grandes enseignes en différentes langues créent une sorte de paysage urbain en orientant le visiteur et en présentant les grandes thématiques du pavillon.
À l’opposé d’une espace muséal ou d’une installation— trop clos, trop neutre ou trop expressif— , le pavillon s’expose lui-même en lumière naturelle, en montrant simplement ce qu’il sera durant cinq jours ; une « plate-forme » d’échanges ou la langue française invite, montre et reçoit…
Denis Coueignoux, Eric Jourdan ont dessiné le pavillon, assistés par Bathilde Lebret, Ruedi Baur étant directeur artistique de l'ensemble de la manifestation.
voir la fiche liée (Réalisation)
À partir de cette intention, nous avons dessiné et développé le projet de manière à répondre au programme d’un plateau ouvert, accueillant, permettant la convivialité et les échanges, les conférences et les lectures, mais pouvant aussi offrir des lieux de travail plus intimes et préservés tout comme des espaces de monstration nécessaires à la présentation de trois grandes expositions.
La construction et l’organisation du pavillon se fait par l’agencement de cloisons bois autoportantes conçues à partir d’un système constructif léger très simple et modulable.
Pensées afin de délimiter les espaces et structurer les différents moments de la visite, ces « cloisons » sont aussi les supports permettant de positionner des enseignes, des informations statiques ou dynamiques, d’exposer des affiches ou des documents ; elle deviennent bibliothèques en présentant des livres et le principe constructif se décline aussi en mobilier tel que bancs, gradins, tables, tabourets…
En reprenant les principes de l’identité visuelle, la présence typographique est relativement importante dans l’espace. Ainsi, en articulation avec la structure bois, de grandes enseignes en différentes langues créent une sorte de paysage urbain en orientant le visiteur et en présentant les grandes thématiques du pavillon.
À l’opposé d’une espace muséal ou d’une installation— trop clos, trop neutre ou trop expressif— , le pavillon s’expose lui-même en lumière naturelle, en montrant simplement ce qu’il sera durant cinq jours ; une « plate-forme » d’échanges ou la langue française invite, montre et reçoit…
Denis Coueignoux, Eric Jourdan ont dessiné le pavillon, assistés par Bathilde Lebret, Ruedi Baur étant directeur artistique de l'ensemble de la manifestation.
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